Suite à mon
précédent article, et dans ma grande naïveté (mea culpa, mais on ne se refait pas), j'ai contacté le président du jury, plusieurs mois après la décision.
Pour découvrir que cet illustre académicien n'avait ... jamais pris connaissance de mon manuscrit ...
Je regrette d'être encore celle qui a découvert que ... même les concours de poésie seraient pipés.
N'hésitez surtout pas à me détromper ...
Pour ma part, j'en reste à ce
constat déplorable.
Littérairement, mais surtout sur le plan politique et éthique : quelle est la signification de telles pratiques dans une démocratie ???
Tellement admises qu'il n'y a presque rien à en dire, au risque de faire figure de mauvais perdant, de mouton noir indécrottable.
Je ne désire pas vraiment soulever de polémique, je ne cite pas de noms, j'interroge, je m'interroge, j'interroge ceux et celles qui passent par ici.
"
Fait, étant" (Mallarmé) telle est la poésie, indestructible.
Et tout combat qui se respecte est un combat à voix nue.