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La Fille qui n'aimait pas ses seins

Le double langage d'un séducteur

 

Je ne sais pas,

et il est trop tard pour s'y intéresser,

quel est le nom de sa maladie,

mais il était malade, en effet,

refusant une communication claire et directe.
Refusant d'expliquer face à face ses raisons.

Si seulement il m'avait dit la vérité claire et nette.  Mais il avait besoin de sa belle image, étrangère à ce qu'il était.

Et dans tout message, dans toute communication, il maintenant ce double langage, voulant me faire passer pour folle à mes propres yeux (moi qui suis la raison même), et m'assurant dans le même temps de son admiration, que j'étais libre d'interpréter à ma façon, après l'intensité de ce que nous avions vécu durant 3 ans.

Ce dialogue n'aura plus jamais lieu.  Aujourd'hui, il n'a plus aucun sens.
Il me revient quelquefois dans un cauchemar, et je me demande encore pourquoi.
Ne sachant que trop que c'était lui seul qui avait fait ce choix horrible de m'exclure de sa vie, alors qu'il m'aimait.
Cela n'a pas d'importance, et chacun est libre de ses propres choix, indiscutables.
En même temps, cette cruauté est un traumatisme à jamais, qu'aucune parole, aucune méditation ou thérapie, nul nouvel amour ne viendra contrebalancer.

C'est une erreur du temps, une blessure d'amour, un crime sans punition ni contrition.

 

Pauvre homme qui a cru pouvoir retrouver ce qui n'existe nulle part.

 

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Vous m'avez appelé il y a quelque temps en disant que votre crise etait terminée . j'avais donc espéré qu'un jour nous pourrions reprendre des rapports normaux.
Or cette nuit ça a recommencé apres quelques insultes balancées sporadiquement depuis une semaine.
Vous me parlez d'une Marie Cecile (ou un nom comme ça), comme autrefois d'une Anne en minijupe, ou d'une geante à talon violet, etc.
Je ne connais pas toutes ces personnes. Je ne suis pas à Bruxelles en ce moment et en particulier pas la nuit derniere.
Visiblement vous me confondez avec quelqu'un d'autre (un sosie ?) dont la vue en compagnie de femmes que vous, vous connaissez (et meme leur nom) , vous met hors de vous.
Il est possible que vos difficultés professionnelles bien réelles aient enclenché chez vous un cycle maniaco-depressif leger qui tous les mois declenche une cris ede ajlousie imaginaire.
Je ne peux rien pour vous mais vraiment vous devriez consulter un medecin.
Sachez seulement que mon admiration pour vous n'a pas diminué.
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